Mazalda – Super Orion au Marché Gare
Mazalda – Super Orion au Marché Gare
Marché Gare et Périscope présentent : MAZALDA – SUPER ORION featuring Sofiane Saidi
MAZALDA
Mazalda est à l’image de l’explosion des genres qui opèrent dans les musiques d’aujourd’hui. Difficile à définir, leur marriage des influences nous embarque dans une énergie unique et futuriste faite des mélodies du Magreb ou d’Amérique du Sud, habitée de sonorités qui revisitent les Balkans. L’orchestre convie ainsi tant d’instruments et d’univers qu’il en devient presque imaginaire et très assurément psychédélique. Leur nouveau projet SUPER ORION convie la derbouka orano-marocaine de Mohamed Ben Amar et le crooner algérien SOFAINE SAIDI à enflammer un peu plus leur performance live en ajoutant une touche Raï et musique orientale.
SUPER ORION
SUPER ORION est un projet protéiforme dans lequel Mazalda rencontre des musiciens africains : Sofiane SAIDI, sulfureux crooner algérien, Mohamed BEN Amar et sa derbouka orano-marocaine ; augmentés pour des concerts exceptionnels SUPER ORION SPECIAL par les sabars, tamas et voix de Khadim NIANG et Bouna NGOM, surpuissants acteurs du mbalax de Saint-Louis du Sénégal.
Nouvelles aventures cosmopsychédéliques de Mazalda où le feu de la voix de Sofiane Saidi éclate à tous les coins de la galaxie. Le son unique de Mazalda se nourri d’influences traditionnelles, progressives et psychédéliques. Depuis plus de 15 ans, ces 6 musiciens expérimentent une musique libre et dynamique à la recherche de l’extase suprême. Pour cette nouvelle mission, l’équipage Mazalda invite le chanteur Sofiane Saidi et s’enrichit des percussions algériennes du puissant Cheikh Mohamed Ben Amar. Mazalda invite Sofiane Saidi (chant) et Mohamed Ben Amar (derbouka), pour un répertoire puisant dans le raï. Les grooves, les phrasés et les modes s’inspirent des racines du raï, des K7 ’80s, du son des premières batterie électroniques, mais aussi des nouveaux sons du Sahel et du Mbalax sénégalais. Mazalda mélange les sons traditionnels avec les sons électro actuels, l’épopée des synthés ’70s, et un sulfureux crooner algérien.
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